L’itinéraire
Nous avons opté pour une boucle de 9 jours avec un départ et une arrivée à Kiilopää. Ayant loué l’équipement à Kiilopää, nous devions revenir à notre point d’origine. La boucle s’est effectuée dans le sens inverse des aiguilles d’une montre, afin de commencer par les étapes les plus courtes. En gardant les plus longues pour la fin, cela nous a permis de les effectuer lorsque nous étions un peu plus à l’aise sur nos skis (nous n’avions pas d’expérience en ski de randonnée nordique) et surtout, avec des pulkas moins lourdes, allégées en nourriture.
Nous effectuions entre 12 et 20 kilomètres par jour, avec deux étapes plus courtes. La première nous a permis de profiter de Sarvioja avec son lac et surtout son sauna. De là, il est également possible d’effectuer l’ascension du Sokosti, point culminant du parc avec ses 718 mètres d’altitude. A la seconde, à Lankojärvi, nous sommes montées en haut d’un petit sommet afin de profiter d’une vue panoramique sur le parc. La boucle, avec le sommet au huitième jour, a représenté un itinéraire de 130 kilomètres pour un dénivelé de +1750/-1750 mètres.
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| Temps [h] |
Distance [km] |
Dénivelé [m] |
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| J1 : Kiilopää – Suomunruoktu | 5:00 | 14,5 | +200/-230 |
| J2 : Suomunruoktu – Tuiskukuru | 5:30 | 13,5 | +200/-220 |
| J3 : Tuiskukuru – Luirojärvi | 3:15 | 9,0 | +150/-160 |
| J4 : Luirojärvi – Hammaskuru | 5:50 | 14,0 | +150/-130 |
| J5 : Hammaskuru – Muorravaarakka | 4:30 | 12,5 | +150/-200 |
| J6 : Muorravaarakka – Sarvioja | 7:00 | 19,5 | +100/-60 |
| J7 : Sarvioja – Porttikoski | 5:30 | 15,5 | +150/-250 |
| J8 : Porttikoski – Lankojärvi | 2:30 | 6,0 | +20/-0 |
| J9 : Lankojärvi – Kiilopää | 6:00 | 19,0 | +410/-280 |
Temps hors pause du midi. Ajouter 6 km +220/-220 m au J8 pour le sommet.
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L’itinéraire suit principalement les sentiers d’été, à quelques exceptions près. Mais en hiver, les chemins et le balisage sont complètement invisibles, il n’y a aucune trace. Au départ et à l’arrivée de Kiilopää, il emprunte les pistes de ski de fond de la station, il est facile de les suivre. Mais une fois dans le cœur du parc, les seules traces visibles sont celles de skieurs précédents et parfois des motoneiges des gardes du parc. Lorsqu’il neige, tout est recouvert et il faut alors faire sa propre trace. Nous avions de ce fait préparé l’ensemble de notre itinéraire avec minutie et utilisé un GPS pour nous guider.
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